Exhibit 1: Final design of the FrID, circulated from 1943
France, Paris, Préfecture de police archives, DB 599
France, Paris, Préfecture de police archives, DB 599
France, Paris, Préfecture de police archives, DB 599
France, Paris, Préfecture de police archives, DB 599
Authorities were struggling to keep alive a somewhat illusory feeling of national unity by maintaining the sovereignty of the State on the French territory as a whole, at a time when it was being challenged by the presence of foreign occupying forces and the splitting of the country into several zones. The Vichy regime, however, often had t...
]]>Ne s’agit-il pas d’ailleurs de simples perfectionnements ? La question mérite d’être posée pour chacun des trois appareils. Il ne s’agit finalement que d’anciens microscopes auxquels des améliorations ont été apportées. Le graphoscope de Locard, permettant l’expertise des documents écrits, s’inscrit dans des recherches menées depuis plusieurs années déjà en Europe. L’hastoscope ...
]]>(Alphonse Bertillon, Identification anthropométrique. Instructions signalétiques, Melun, Imprimerie administrative, 1893, p. XIV)
Reconnaître un détenu apparaît comme une exigence constante dans la longue durée de l’histoire pénitentiaire. De l’Ancien régime à nos jours, toute personne incarcérée par voie légale fait l’objet d’une procédure particulière d’enregistrement qui atteste de son entrée et de sa sortie de l’établissement de détention. Le registre d’écrou est ainsi le livre officiel sur lequel est inscrite l’identité des détenus. La reconnaissance des prisonniers fut longtemps assurée par le gardien « morgueur » qui avait la charge de dévisager minutieusement tout nouvel entrant. Jusqu’au XIXe siècle, l’identification du justiciable consistait généralement en u...
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